Bonjour. Pas de bla bla aujourd’hui, voici la prose.
Le salaire de l’ouvrier.
Quand le bonhomme a semé son avoine, il la semait avec joie.
Quand le bonhomme a coupé son avoine, il la semait avec plaisir.
Quand le bonhomme a tourné son avoine, il la tournait avec désir.
Quand le bonhomme a fait moudr’ son avoine, il le faisait avec hâte.
Quand le bonhomme a vendu son avoine, il le faisait en tendant les mains.
Je suis moniteur de camp de jour et avec le titre donné par Martin, cela m’a fait pensé a la chanson du bonhomme et son « a-vou-enne ». Voilà, c’est simplement l’inspiration de mon texte.
Jasmin.
samedi 20 septembre 2008
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